Thursday, January 12, 2006

UN MANUSCRIT DATE DE 1977.


  1. Notes pour un roman expérimental

    UN CAHIER BLEU RETROUVE APRES COUP
    Ancien cahier de musique
    UNE VINGTAINE DE PAGES


































    NOTES CONTEXTUELLES.
    Préface
    Non encore réalisée






    Ci dessus une des pages manuscrite du cahier.





    CAHIER DE L'ANNEE 77
    UNE PAGE COLOREE AVEC DES POEMES




    Délires verts
    Au soir pas et suites
    Se chevauchaient
    C'était dans le grand numéro
    DANS CELUI QUI FAIT TILT

    ET QU'ON TIRE UNE FOIS L'AN

    A l'heure des mouchards



    C'était BIEN AINSI

    QUE COMMENCAIT

    CETTE HISTOIRE LA






    SUR UNE PAGE DONT CERTAINES PARTIES SERAIENT ENCORE LISIBLES MAIS DONT CERTAINES AUTRES COMMENCERAIENT DEJA PAR S'EFFACER


    PARADE


    Dans cette nuit courte, me revient ce roman " NUIT AUX PÖLES" sans grand émois.
    Lieu sans fin, point d'arrivée et point de départ (d'une vie probable, plus qu'incertaine) au sein de laquelle de multiples ECRITURES se chevauchent,
    Projet SANS FIN
    Ou sans SUITE
    Il me revient en rêve ce Grand livre inconnu
    J'ai entrevu dans ses espaces
    DIVERS POINTS D'IMPULSION
    TOUS JAILLIS
    DE LANGAGES NOUVEAUX ENTREMELES

    J'ai aperçu

    LES RECITS

    Et j'ai observé

    LES ETRANGES MODALITES DE CONCEPTION D'UNE ŒUVRE TOUTE ENFOUIE ENCORE DANS LE SECRET DE CERTAINES CITES (POETIQUES) ENTIEREMENT INVISIBLES A MA SEULE VUE PRESENTE

    Suit ici une phrase aux trois quart illisible.
    e que 'e vois aujourd'hui e ma triste écriture e désespère et ne 'incite pas à faire le plongeon dans le grand or de l'écriture libre de toutes attaches





    SUITE

    Presque effacée
    (Manuscrit à scanner)

    Notes:
    Il est assez singulier pour ma part que j'éprouve toujours cependant à la lecture de la plupart des offices patentés de la littérature, même des meilleurs, comme un arrière fond de dégoût; ce qui est écrit m'ennuie profondément, pas assez cependant pour me briser en toute envie d'écrire, je rêve encore de ce livre invisible et sans fin qu'écrirait un cyclope dans un monde de lutins.






















    UN PASSAGE D'ECRITURE A PEINE LISIBLE




    PARADE
    suite

    J'avais l'envie de Dieu qui me passait par les yeux aussi bien le jour que la nuit et les versants monotones du livret magistral quotidien aux harmonies liées et menottées celui qui donnait tout son sens au monde me passait par dessus bords; j'étais toujours horriblement tiré à écouter s'entraîner les cantiques les plus vicieux et capricieux du règlement de compte édité au jour le jour par le grand créateur, je l'étais jusqu'à cet instant ou lasse de me perdre, je décidai d'orchestrer moi même la musique des cantiques et celle des sonates entendus..




































    UN SECOND PASSAGE D'ECRITURE A PEINE LISIBLE PAR ENDROITS


    PARADE (SECONDE SUITE)


    Je n'ai pas l'impression d'avancer, ceci dit …( passage illisible)………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………et surtout pas moi même. Ce cahier s'il continue ainsi sera celui de la désolation. J'écris sur le rien dans le néant n'ayant rien à dire d'autre que mon sentiment propre, celui "de mon importance en tout". Mais en même temps malgré son implacable présence, ce sentiment ne suffit pas, il est là disposé en moi comme un mode de résignation qui m'ennuie, il est comme une vieille nostalgie qui s'épuise; c'est pourquoi j'ai beau tenter de jouir de certaines heures, de certaines formes de récitations sur la vie, le nombre des jouissances que j'ai en moi déborde toujours un peu sur ce sentiment là d'une langueur d'attente à créer; car je ne profite pas insolemment, si insolemment de " mon rien faire" je suis encore fixé à d'autres attentes, je suis sur l'attente d'inspiration, je suis l'écrivain du vague, et probablement que je n'ai rien à dire; c'est plus désarmant que tout le reste, car on ne peu tout d'même pas se fixer ainsi perpétuellement dans ses langueurs contenteuses, cela ne suffit pas, non cela ne suffit pas.
    Je…………………………………………………………………………………………………………………….(passage illisible)……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….mais cela dure encore pourtant, de même mon écriture si elle se fait si petite comme pour se cacher n'y a t'il pas là comme une conscience mauvaise qui m'échappe?











    SUITE SUITE




    NOUVEAUX FRAGMENTS D'ECRITURE A PEINE LISIBLES

    PARADE ET CATACOMBES
    (Suite de textes a moitié effacés … à continuer pour ceux qui voudront bien en prendre le temps)
    I
    En quelque sorte l'angle du récit, l'angle, je veux dire la façon dont il s'achemine dont il se pose ou s'explique …tout est vain…Dans l'espace à vouloir un état d'âme recherché, on tombe dans le piège du " limité" parce que la découverte se fait incessamment dans le cour du récit, de n'importe quel récit. Que tu écrives ceci ou cela quelle importance…si tu t'en tiens exclusivement aux mots à la canule estropiée du récit ou de ce qui le provoque.. tout restera vain…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….

    II
    Je pourrais lester quelques notes, pour tenter de faire le point, par exemple pour me stimuler sur le fonctionnement de la poésie, et à ma mesure tenter de cerner la part de "mésentente" qui règne entre moi et certains alibis cultureux ou certains angles " d'envisagement" de la fonction poétique , de celle là particulièrement " celle liée à l'écriture" mais que restera t'il………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

    III

    Ma grosse disette intérieure à du mal à se mesurer avec son extrême faux semblant, à cause de cet "inconsciemment" qui m'affecte et qui se refuse à percer "son propre jour ,qui est sa propre nuit" ce que j'appele plus élégamment "l'étendue de mes propres craintes". A cause certainement de cet "inconsciemment "qui continue à me jeter de la poudre aux yeux. Je le sais ce faisant, le principe pertinent de ma propre pertinence s'amollit et je n'écris que du vague sans autre désir ou plaisir que de coller à ma propre absence. Je pourrais dire " trop de choses vaines me pèsent", ce serait un nota poétique qui servirait à colmater "mes brèches", celles qui gisent au ras de mon cœur; je pourrais donc m'exprimer ainsi dans le revers des choses " nouvelle prononciation verbale pour énoncer un autre état d'âme appelé à la rescousse; et cela " laisse insatisfait" pour la cause que…(et cela en surplus pourrait continuer ainsi des pages entières ) par le seul fait que ce rapport aux mots brut se heurte et gémit)…pourtant là dans le rapport au mot brut et à la brutalité du mot, je découvre LA DANS LE VENTRE DU MOT un souffle qui n'est ni de moi, ni de l'idée que j'en ai, mais qui est DE L'ESPACE DU MOT LUI MEME et cette différenciation dans les espaces vécus entre lui et moi , créer un étrange rapport, un rapport qui me brise et qui me charme, c'est pourquoi je vois que se lèvera bientôt……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..

    IV
    Nouvelles sanglantes un jour de rêve, glissent et s'enffolent dans les rives flamboyantes du marché aux couleurs, les artilleurs du Népal -Napalm- bombes - tombent- leur torse -couteaux- et se tirent dans le flanc un grand coup de vibro - poéme - vietnam.OUF! Continuez à croire que…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..STOP!

    SVP
    BIEN REFLECHIR AVANT DE CROIRE EN L'INNOCENCE DE CERTAINS FAUX POEMES
    (DE) LANGUE INCERTAINE

















    Avant tout lire les avis d'obtempérer qui suivent laissés à l'abandon par le scripteur:




    CONTRAINTES



    ---------------------------------

    Inscrire un rapport poétique à la distance l'appliquer sur l'étendue des signes courants
    ___________

    Ne peu forcer sa poétique, si l'âme du sujet n'est pas inspirée, il va se ramasser




    Contrainte amicale

    V


    Mais aussi, observer ce rapport à la fonction décrivante…observer qu'elle s'emploie ( plutôt qu'elle se déploie)comme un processus qui se lit emporté par le courant formé par le petit fleuve de la lecture…beaucoup de mots se rajoutent au seul fin plaisir de compenser ce manque à………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………POUR TERMINER LA PHRASE POUR LA COMPLETER OU POUR EN CREER UNE NOUVELLE CHOISIR UN MOT ICI OU SIMPLEMENT EN CREER UN NOUVEAU
    jouir
    Composer
    a vivre
    à réfléchir
    à croire à …………………………………………………………………………………….



    CONTRAINTE SUITE
    EBAUCHE POUR
    UN ROMAN DE L'ECRITURE

    Les lettres en minuscule correspondent aux débuts de chapitre ou à des phrases ou des mots situés dans le cours des chapitres , elles sont des contraintes minuscules imposé pour l’écriture du roman.

    Et Ier chapitre Puis second chapitre D'autre part……deuxième chapitre……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..quelque part dans la conscience de celui qui écrit, ce mystère qui n'est que lui porteur……Phrase incluse dans le troisième chapitre…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..à trop vouloir s'inspirer, il tombe dans le coma des vagues, il œuvre sur commande………Phrase qui doit boucler le troisième chapitre……………………………………………………………………………………………………………………… il y a des pas dans l'écriture qui ne s'abritent pas……………Phrase qui conclus le sixième chapitre …………………………………..Il a conscience que dans son écriture se tient une part irréelle de sa vie ; il a surtout conscience que des instants précieux de sa vie disparaissent lorsque cette dernière lui échappe ; c’est sans doute pourquoi il est profondément malheureux, c'est pourquoi il se plaint. Partie a inclure dans une préface ou une postface du roman.










    suite



    UN PASSAGE QUI SEMBLE APPARTENIR A CETTE ACTIVITE THEORIQUE MAIS QUI APPARTIENT PLUTÖT A SON JOURNAL IL SE PRESENTE SOUS LA FORME D'UNE DEMI PAGE VOLANTE RETENUE AVEC UN SCOTCH TRANSPARENT ET PLACEE A CET ENDROIT DU CAHIER .


    Ce n'est pas de la pénibilité intellectuelle que j'éprouve à mettre en évidence certains états de cheminement dans mes projets, mais c'est une malicieuse sensation de "non sens" qui se déplace partout incessamment au centre du foyer à conviction sur l'angle des prémices littéraires. Et ce manque enregistré et dans l'abus même des mots qui prolifèrent . Et dedans un centième à peine de l'étincelle de ma mémoire peut à peine se placer et jaillir à bon escient, c'est à dire se montrer sans l'indécence des surfaces à paraître. J'ai déjà éprouvé ce manque au départ très tôt au début de l'écriture, quand je m'essayais à poser des mots les uns derrière les autres avant la découverte d'un enchaînement dialectique dans le langage, au fur et à mesure des étapes de l'écriture je suis retombé; ou plutôt je crois que je n'ai jamais vraiment compris l'écriture; ou pour trop l'avoir compris; je me suis laissé glissé à côté par faiblesse, ou peur d'en ressortir avec la face d'un noyé.



    Car ce rapport à l'écriture est comme celui qu'on a avec une femme qu'on aime, si la femme est trop exigeante ou trop tentaculaire, un rapport à la distance ( avec elle) ne peut se fabriquer sans malentendu; à la longue, elle prend votre besoin d'autonomie pour de la froideur ou pour de la fuite; elle exige ( pour son contentement, pour lui seul) de vous que vous vous livriez corps et âme jusqu'à là dernière parcelle et elle ne prend plaisir qu'à vous dominer. Mais si elle vous aime réellement elle se plongera en vous comme vous avez plongé en elle sans rétention sans arrière pensée, et c'est seulement après que vous aurez droit à cet accès ( moyen) à la distance; vous pourrez l'utiliser alors si ça vous chante pour jouer avec elle à de nouveaux jeux amoureux tous plus raffinés les uns que les autres, un peu à la façon des amants qu'on lit dans la littérature libertine et héroïque du passé.




    J'entrevois ailleurs une écriture parcheminesque et nue , pourtant assez fleurie pour susciter l'émoi, assez distancée pour captiver l'intellect assez leste pour se déplacer entre les crimes de certitudes qu'on nie à l'évidence.



    Chères belle images de mon passé, je vous ennuie






    En fait mon ambition serait peut être de
    CONSTITUER UN MODE D'INVESTIGATION DU REEL TIRE DE L'ECRITURE ELLE MEME





























    RECIT









    Peut être pour m'aider à appréhender certains rapports d'écriture, donner jour à un texte qui s'appellerait RECIT, à l'intérieur duquel se livreraient à nus certains aspects de la narration et certains de ses modes de "mise en évidence" ou certains des glissements ou superpositions, déstructurations etc…qui les accompagnent
    Ce projet est à développer, à travailler sérieusement, car l'enclave dans laquelle je me trouve (à écrire) et aussi le produit d'une réelle confusion dans les modes d'expression envisagés sous l'angle toujours changeant insaisissable né de l'état de confusion dans lequel me jette le monde appréhendé par l 'aide unique de ma propre subjectivité.
    Mais peut il en être autrement?
    Si je devais m'inventer un programme, ma méthode serait d'éprouver le fonctionnement mis à nu des modes littéraires, à travers ceux que j'emploie( parfois inconsciemment ) au jour le jour.
    Plus précisément elle serait de tirer des modes d'exposition aléatoires subjectifs, la puissance même d'une découverte.






    RECIT I

    UNE NOUVELLE NOTE .


    Je ne sais pourquoi je m'intéresse plus spécialement "au récit", à part peut être que je pressens là ( dans son organisation intérieure ou dans son dérèglement ) comme un mode de fonctionnement clés; un mode de fonctionnement d'organisation ou de dérèglement clés pour le développement et la construction de la nouvelle littérature , de celle qui naît déjà aujourd'hui, et de celle qui naîtra probablement dans le futur.

    Le développement non seulement d'un discours, mais de quelque chose de plus fort, comme la base d'un schéma virtuel de perception nouvelle, c'est dans la structure du mode opératoire du récit qu'on pourrait l'entrevoir; c'est peut être d'ailleurs davantage derrière le récit que dans le récit lui même qu'on pourrait s'attendre à trouver cette chose si elle devait exister.
    D'une autre façon, je ne veux pas me leurrer, je dispose de très peu d'éléments pour mettre à jour une autre forme de perception du récit entièrement nouvelle, c'est à peine si je pourrais envisager d'en mettre à jour une qui soit dévié (de la suite logique des précédents).Mais de cette impossibilité découle en partie la cause de ma fascination actuelle pour les écritures invisibles et pour celles qui sont fragmentées, et ma contribution critique faute de mieux ( aux formes de développements narratifs exponentiellements nouveaux se limite au discours sur les possibles bouleversements d'une telle entreprise


    A vrai dire, je ne peu me contenter d'une suite jaillissante de mots ou de discours; je pressens en tout récit en eux et derrière eux, caché derrière leur vague un lien plus essentiel qui ne cesse de m'échapper et de m'atteindre.







    AINSI SE FORMULE CHEZ MOI DES HYPOTHESES DE DECOMPOSITION DU RECIT PUREMENT FABULATOIRES.





    Prit dans un délire théorique je me met à échafauder des hypothèses; il en ressort quelques notes tracées à la hâte.






    NOTES:
    Les modes utilitaires du récit doivent se combiner avec certains modes exploratoires destinés à capter les diverses formes intelligentes du récit pour en conserver la trace .

    DANS UN PREMIER TEMPS,J'AIMERAIS DECOMPOSER LES MODES OPERATOIRES DU RECITS EN METTANT EN EVIDENCE CERTAINES FONCTIONS FASCINATOIRES EXERCEES SUR LE LECTEUR.




    Décomposer les parties par périodes PERIODE D'APTATION
    PERIODE DE DESAPTATION
    A LA LECTURE

    METTRE A JOUR LES ETREINTES
    DU RECIT MAIS AUSSI SES
    MESETREINTES ( Toujours dans un rapport
    A la lecture).


    DECOMPOSER LES DIVERS ETATS DE
    CONQUETE DU RECIT
    LE RECIT CONQUIET,SOIT L'ÄME SOIT
    L'ESPRIT,SOITLES SENS DU LECTEURS
    DETERMINER SUR QUELS SENS IL AGIT
    LE PLUS REGULIEREMENT.
    REPERER LES FORMES D'ETREINTES.

    (METTRE A JOUR LES STRATES DE
    SIGNIFICATION QUI EN DECOULENT)


    FRAGMENT D'HYPOTHESE:

    Mettre à jour les parcours( tous les parcours de lecture possibles).

    Car j'y pressent à leur lecture (forcément polysémique) comme dans le théâtre qu'une évocation plus substantielle peut se tenir cachée derrière la trame visible de la découverte spontanée ( comme celle engendrée par exemple par la lecture banale d'un simple récit publicitaire ).A priori invisible se tiendrait caché derrière le récit principal, une forme d'intelligence qui se révélerait peu à peu , comme la manifestation essentielle du récit, ( comme une intelligence dans l'intelligence).C'est cette partie là qui m'intéresse, ( l'invisible) autant si ce n'est plus que la visible.)


    LES MODES DE NARRATION.

    Je ne veux pas vraiment me leurrer, il n'y a pas vraiment de mystère à découvrir là.
    Le mystère s'il apparaît doit être ailleurs.



    MODES AMBULATOIRES ET DEAMBULATOIRES DU RECIT.




    Derrière le mystère de leur existence, percer et mettre à jour l'existence d'une véritable, règle harmonique des genres. Mettre en relief l'évocation véritable qui se distingue toujours des produits factices par une forme et un relief déambulatoire particulier.
    Ici se situe toute la problématique de mon écriture ou d'une partie ( celle atteinte de vertige).En ce sens cette démarche qui consiste à mettre à jour les modes opératoires qui donnent naissance aux séries ambulatoires et déambulatoires du récit c'est le plus important.
    C'est le plus important, car derrière les modes en question se tient dissimulé, ce que faute de mieux pour le qualifier j'appelle d'une façon factice " LA DECOUVERTE DU SENS" ou des sens; cette découverte se trouve liée en tous points A LA CONSCIENCE PHYSIQUE D'UN PARCOURS TEXTUEL. Cette découverte à pour but de mettre en évidence l'existence d'un phénomène purement TACTILE dans l'acte qui consiste à LIRE comme dans celui qui consiste à ECRIRE..

    Dans cette optique, l'important n'est plus forcément le ( sens du ) texte en lui même, mais la prolifération de sens ou des sens qui s'en dégagent. CETTE MANIFESTATION EST TOUJOURS INCONSCIENTE OU DU MOINS INVISIBLE DANS LE RECIT.
    LA RENDRE CONSCIENTE SERAIT L'OBJECTIF QUE SE DONNERAIT EN PARTAGE LES SCRIPTEURS DU FUTUR.
    Toute la difficulté ( pour la faire apparaître ) réside dans le fait que les modalités d'appréhension de cette structure échappent encore pour l'essentiel à notre compréhension logique ( du fait que cette chose ne possède pas ( pour le moment)de caractéristique logique). Cette structure se trouve dissimulée derrière la face apparente du récit ET SA DISSIMULATION FAIT PARTIE INTEGRANTE DU RECIT APPARENT, C'EST POURQUOI LA SAISIR EST UNE OPERATION TRES DELICATE QUI DEMANDE ENORMEMENT DE TACTE ET DE SUBTILITE ce dont je manque au plus haut point malheureusement, cela veut dire que ma tâche pour repérer ces fonctions sera encore plus compliquée.










    RECIT II


    AVIS AU LECTEUR


    DANS CETTE PARTIE DU RECIT APPRETEZ VOUS A LUTTER AVEC FORCE CONTRE L'ESPRIT D'EGAREMENT DU NARRATEUR.


    Un des mots clés pouvant apparaître à cette étape est celui de fiction. "Les récits quoi qu'il en soit sont des fictions" C'est à dire que les récits restent des fictions contre toute attente, quelque soit les récits, et cela malgré toutes les tentatives faites pour leur donner un statut différent. Si je décris un aspect du monde ou de la réalité ( même avec la meilleure intention) c'est à dire avec l'intention d'en donner une reproduction fidèle, le récit lui ( malgré cette intention) ne donnera jamais qu'une réplique de cette réalité; tout comme une photo n'est pas le paysage réel ( mais un paysage fictif) le récit n'est pas la réalité vraie; il n'est qu'une tentative faite en vue de la reproduire Ainsi si nous cherchons à reproduire la réalité, nous n'avons pour se faire( pour pouvoir la reproduire) que la possibilité ( toujours limitée) de choisir entre différents sortes de récits ( de fiction) pour arriver à nos fins.
    Que je choisisse tel ou tel ( récit) y va sans doute de son importance. Je peu choisir tel ou tel récit sans être d'ailleurs conscient de son implication (fictionnelle).Je peu être à mon corps défendant le sujet d'une instrumentation du récit par le simple fait d'employer tel ou tel type de récit sans me douter de ses implications textuelles sous - jacentes . Je peu être narré sans m'en rendre compte par l'emploi ou l'utilisation d'un mode de récit qui joue avec moi ou contre moi, sans que j'en sois conscient.
    Le lecteur n'a pas lui à avoir ces états d'âmes; pour lui l'adhésion, avec la lecture (du récit) soit elle se fait, soit elle ne se fait pas. Si elle se fait c'est mieux; si elle ne se fait pas, ou si elle se fait de travers, il faut savoir pourquoi, elle n'agit pas. Peut être l'auteur a t'il voulu ( dans certains cas très particulier ,parfois totalement inconscients) que celle ci s'opère de travers; la singularité de son récit tenait peut être dans cette non adhésion, dans cette forme de faussage de la lecture. Allez savoir! Dans ce cas il faut bien le dire , la fiction vraie du récit, à peut être débordé du cadre imparti au récit (vraie)* d'une façon volontaire , cela afin d'embrouiller le lecteur; afin de l'empêcher d'accéder aux intentions réelles sous jacentes derrière le véritable récit ( celui qui jouerait à travers l'emploi de la langue à travers l'emploi de l'écriture, à travers les postures physiques engendrées par le récit) ces dernière serait peut être en réalité l'enjeu véritable du récit. Allez savoir!
    Si l'adhésion au récit se fait tant mieux! Tant mieux, même si elle se fait de travers! C'est ce que disent la plupart des amoureux de l'écrit. Car pour eux compte plus la poétique du récit et l'effet de mystère engendré que la sébile cachée derrière le récit et qui le doublerait sous la forme d'un contenant aux effets physiques articulés tout au long du récit.( constituant le corps même du récit).Pour eux pour ces amoureux de l'écrit, c'est dans l'effet porté qui se crée entre l'adhésion de celui qui écrit et de celui qui lit que "l'événement" ce qu'ils appellent " le miracle poétique du récit" se réalise. Il est difficile de leur contester cette beauté qui naît à l'apparition du récit lorsqu'il se décline sous une forme qui rappelle celle d'une rose qui s'ouvre sous l'effet conjugué de l'apparition du jour et d'une substance vitale qu'on appelle la rosée, car il est toujours troublant d'apercevoir à travers la simplicité naissante du monde, les effets d'une vérité qui se prolongerait jusque dans l'écrit.
    Mais nous disons nous simplement que des DECALLAGES SUCCITES dont avons parlé plus haut, peuvent naîtrent de non moins nobles attraits, sinon d'aussi troubles beautés, ou du moins d'autres belles formules d'où la poétique même n'est pas à exclure.
    Ainsi ce qui se précise dans cet état de description que je m'efforces de produire( aussi vague soit il) c'est bien un compte rendu; le compte rendu des possibilités virtuelles du récit; celles inscrites dans le récit sous forme d'un corps souvent invisible, mais pourtant bien réel ( puisqu'il n'est autre que le corps tangible et concret ( du récit roman), celui qui agit en sous main sur les sens du lecteur pour les séduire ou les obstruer sans parfois même qu'il s'en rende compte ).

    Quand au mystère du récit quand est il réellement alors! nous disent provoquant ceux qu'on appellent parfois les légistes (ceux qui en nous ou à travers nous ont pour tache d'ordonner et d'assembler les récit) Qu'en est il des mystères si tout n'est plus qu'une question d'ordonnance sous jacente?
    Naturellement, nous préférons nous nous adresser aux poètes sculpteurs de récits plutôt qu'aux exécrables légistes de même qu'aux grammairiens, correcteurs etc.. qui ont droit également aux honneurs).
    Malgré cela , nous répondons à tous légistes, poètes, grammairiens ,correcteurs etc BREF A TOUS CEUX LA QUI DORMENT EN NOUS TOUS … certes les mystères existent dans tous les meilleurs récits (écrits) cela ne fait aucun doute; mais ce n'est pas forcément parce que nous les aurons convoqués qu'ils apparaîtront d'emblée; nous avons remarqué d'ailleurs que c'est bien souvent dans la faculté qu'ils ont de leur échapper que réside la maîtrise réelle de ceux qui les engendrent. Pourquoi n'en serait il pas de même pour les lecteurs? Qu'ils s'absentent un peu et peut être …des mystères ils verront poindre le jour.
    Vous rechignez! Et vous n'avez pas tord si vous trouvez la réponse un peu facile; vous devrez vous en satisfaire néanmoins pour l'instant, car nous n'en n'avons pas d'autre à portée de la main. D'ailleurs, à ce stade du récit si vous n'avez pas vraiment compris ou nous essayons d'en venir , il vaudrait mieux à notre humble avis que vous cessiez de perdre votre temps à nous lire; nous ne devons pas être fait pour nous entendre!..
    Si vous insistez…c'est tout à votre honneur, mais vous devez savoir…que si vous ressortez déçu de cet entretien, ce sera en partie grâce à votre obstination à nous lire.










    RECIT III


    UN TEXTE A INVENTER,CAR PRESQUE INDECHIFRABLE.


    LA LECTURE GENEE
    ou
    La poétique invisible du récit


    QUESTIONNEMENT DU RECIT ET POETIQUE DU RECIT( suite presque illisible de la précédente partie).Cette partie à été volontairement brouillée.



    Vers une problématique originelle de questionnement du récit.
    EXTRAITS(I)
    A l'origine de cela, il y a un discours trompeur et prétentieux, une tentative d'humiliation et de destruction par ce sous-discours même saisit comme une évidence par certains qui l'affichent pour le faire voir valoir comme une valeur impondérable, fixe ,intangible et à jamais inscrites dans le registre universelle des croyances ; ils s'en servent mécaniquement comme instrument d'évaluation et de consolidation de leur propre pouvoir pour……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
    Dans l'écriture de la fatalité et de la mort qui est le discours de tous ceux qui pratiquent la langue comme un objet d'asservissement (comme nous l'avons montré plus haut) revoici surgissant l'idée fixe d'une société dont l'origine serait inscrite dans celle du mot, inscrite aussi dans un supplice qu'on aurait fait subir à la langue pour la faire rentrer dans l'ordre d'un récit qui soit conforme à l'ordre "grammatical" conforme aussi à l'ordre moral sécrété par la société à ………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………En réalité la perversion inscrite dans l'idée originelle du récit, découle des modes d'inventions qui ont été confisqués par les sollicitant de la premières heures , afin de faire croire que les récits de création du monde crées par les dieux, s'accordaient avec ceux fictifs crées par les hommes.





    CEUX QUI VOUDRONT POURSUIVRE CETTE TROISIEME PARTIE DU RECIT,DEVRONT ON L'AURA COMPRIS EN RECONSTRUIRE EUX MËME LE SENS CAR IL EST PRESQUE ENTIEREMENT PERDU


    Je n'abuserai pas de la patience et de la pertinence du lecteur en lui proposant une lecture de L'EXTRAIT II qui suit encore bien plus illisible que le précédent. Il devra se contenter d'en imaginer lui même la teneur, ou même il devra en inventer une part s'il croit qu'elle est nécessaire à la compréhension du reste du récit .











    RECIT IV



    DANS CETTE PARTIE DU RECIT( si tu la poursuivi ) PREND GARDE O LECTEUR DE NE PAS SOMBRER DANS LA MELANCOLIE


    Il est conseillé de lire à haute voix cette partie avec pour fond sonore une voix de castrat.




    INVOCATION



    Acheter des poésies pour m'enchanter et alors!
    Si j'entrais dans un processus confessionnel pour affirmer ma peine et mon incapacité à te convertir à ma douleur ( O lecteur) qui verrais tu toi même? Incapable de toi même!
    Tu m'administre des états d'être qui me brisent le corps, et tout va bien ainsi en s'immolant par dessus le manteau, et tout porte à croire que ce par dessus le marché porte le manteau de ta propre frayeur en cette croyance aussi simple que deux et deux font la somme de quatre.
    Etendue d'un sommeil qui m'enlace à tous chiffres porteurs de ce simple déraisonnable silence qui t'accompagne à LA LECTURE DE CE RECIT
    Qui voit tu (Ö lecteur) en ce blême silence qu'accompagne toute récitation dictée sous cape.
    Car il n'y a pas d'autre chant ni d'autre récit ( aussi accompli) que celui la même ( celui qui te brises) en te promenant dans cette page pleine de somme, comme deux et eux font la somme de quatre et que tu te met à m'engendrer avec ce mot ( au choix) dans ton dos accroché et fixé à ton cou

    POURSUIT
    ABANDONNE

    Ce récit et rêve de t'ennuyer en m'ignorant
    Comme l'écriture du mystère
    Qui se récite en me lisant
    Ici même
    Sur ce monstrueux cahier
    Ou t'écris
    En même temps
    Que moi je lis
    Mot
    Pour mot
    Ce que
    Mystère engendre


    Voilà, j'ai terminé ma façon d'être à ta lecture
    Maintenant dis moi
    Ou est tu?
    Et t(on) p(as) qui glisse
    T(rêve) de sol(eil)
    Quelques t(âch)es
    Les m(eub)les s'(abî)ment
    Et l'h(ist)oire se dé(fait)
    Nous ent(ro)ns dans la s(aiso)n des erreurs
    Car alors
    Que de m(on)tagn(es) en p(ers)pectives


    C'est ainsi qu'il pourra sauver son fonctionnement

    Etre incompréhensible
    Incompréhensible à souhait


    Et voici pas à pas se meubler
    Le symbole de l'histoire
    Et les divers récits qui peuvent

    Tout aussi bien
    L'engendrer
    REGARDE











    Ö L(ECT)EUR
    RE(GA)RDE
    REGARDE
    SANS
    TE
    PRESSER



    CAR CE RECIT EST SANS FIN